« Les entreprises ont développé une puissance d’action sans précédent, et imprégné profondément nos civilisations… concevoir l’entreprise comme une puissance responsable du bien commun suppose de quitter les doctrines économiques et juridiques classiques. »
~ Entreprises, responsabilités et civilisation. Colloque de Cerisy. Sous la direction de Blanche Segrestin, Kevin Levillain, Armand Hatchuel, Stephane Vernac.2020

« Les entreprises ont développé une puissance d’action sans précédent, et imprégné profondément nos civilisations… concevoir l’entreprise comme une puissance responsable du bien commun suppose de quitter les doctrines économiques et juridiques classiques. »

~ Entreprises, responsabilités et civilisation. Colloque de Cerisy.
Sous la direction de Blanche Segrestin, Kevin Levillain, Armand Hatchuel, Stephane Vernac. 2020

« Et si la réponse aux crises sociale et environnementale se trouvait dans la comptabilité, notamment celle des grandes sociétés capitalistes ? Dans le système comptable actuel, le capital financier est le seul à être systématiquement conservé, tandis que le travail humain et la nature sont utilisés comme des ressources inépuisables et ne sont donc pas strictement conservés. »
~ Alexandre Rambaud

« Et si la réponse aux crises sociale et environnementale se trouvait dans la comptabilité, notamment celle des grandes sociétés capitalistes ? Dans le système comptable actuel, le capital financier est le seul à être systématiquement conservé, tandis que le travail humain et la nature sont utilisés comme des ressources inépuisables et ne sont donc pas strictement conservés. »

~ Alexandre Rambaud

« L’idée de concevoir et d’inscrire une raison d’être dans les statuts d’une entreprise ne tombe pas du ciel. Elle intervient dans un moment bien particulier de la vie des entreprises où les performances économiques et le progrès technologique ne parviennent plus à masquer la disparition du progrès social et environnemental. »
~ Bertrand Valiorgue

« L’idée de concevoir et d’inscrire une raison d’être dans les statuts d’une entreprise ne tombe pas du ciel. Elle intervient dans un moment bien particulier de la vie des entreprises où les performances économiques et le progrès technologique ne parviennent plus à masquer la disparition du progrès social et environnemental. »

~ Bertrand Valiorgue

Slider

« Les entreprises ont développé une puissance d’action sans précédent, et imprégné profondément nos civilisations… concevoir l’entreprise comme une puissance responsable du bien commun suppose de quitter les doctrines économiques et juridiques classiques. »
~ Entreprises, responsabilités et civilisation. Colloque de Cerisy. Sous la direction de Blanche Segrestin, Kevin Levillain, Armand Hatchuel, Stephane Vernac.2020

« Les entreprises ont développé une puissance d’action sans précédent, et imprégné profondément nos civilisations… concevoir l’entreprise comme une puissance responsable du bien commun suppose de quitter les doctrines économiques et juridiques classiques. »

~ Entreprises, responsabilités et civilisation. Colloque de Cerisy.
Sous la direction de Blanche Segrestin, Kevin Levillain, Armand Hatchuel, Stephane Vernac. 2020

« Et si la réponse aux crises sociale et environnementale se trouvait dans la comptabilité, notamment celle des grandes sociétés capitalistes ? Dans le système comptable actuel, le capital financier est le seul à être systématiquement conservé, tandis que le travail humain et la nature sont utilisés comme des ressources inépuisables et ne sont donc pas strictement conservés. »
~ Alexandre Rambaud

« Et si la réponse aux crises sociale et environnementale se trouvait dans la comptabilité, notamment celle des grandes sociétés capitalistes ? Dans le système comptable actuel, le capital financier est le seul à être systématiquement conservé, tandis que le travail humain et la nature sont utilisés comme des ressources inépuisables et ne sont donc pas strictement conservés. »

~ Alexandre Rambaud

« L’idée de concevoir et d’inscrire une raison d’être dans les statuts d’une entreprise ne tombe pas du ciel. Elle intervient dans un moment bien particulier de la vie des entreprises où les performances économiques et le progrès technologique ne parviennent plus à masquer la disparition du progrès social et environnemental. »
~ Bertrand Valiorgue

« L’idée de concevoir et d’inscrire une raison d’être dans les statuts d’une entreprise ne tombe pas du ciel. Elle intervient dans un moment bien particulier de la vie des entreprises où les performances économiques et le progrès technologique ne parviennent plus à masquer la disparition du progrès social et environnemental. »

~ Bertrand Valiorgue

Slider

« Les entreprises ont développé une puissance d’action sans précédent, et imprégné profondément nos civilisations… concevoir l’entreprise comme une puissance responsable du bien commun suppose de quitter les doctrines économiques et juridiques classiques. »
~ Entreprises, responsabilités et civilisation. Colloque de Cerisy. Sous la direction de Blanche Segrestin, Kevin Levillain, Armand Hatchuel, Stephane Vernac.2020

« Les entreprises ont développé une puissance d’action sans précédent, et imprégné profondément nos civilisations… concevoir l’entreprise comme une puissance responsable du bien commun suppose de quitter les doctrines économiques et juridiques classiques. »

~ Entreprises, responsabilités et civilisation. Colloque de Cerisy.
Sous la direction de Blanche Segrestin, Kevin Levillain, Armand Hatchuel, Stephane Vernac. 2020

« Et si la réponse aux crises sociale et environnementale se trouvait dans la comptabilité, notamment celle des grandes sociétés capitalistes ? Dans le système comptable actuel, le capital financier est le seul à être systématiquement conservé, tandis que le travail humain et la nature sont utilisés comme des ressources inépuisables et ne sont donc pas strictement conservés. »
~ Alexandre Rambaud

« Et si la réponse aux crises sociale et environnementale se trouvait dans la comptabilité, notamment celle des grandes sociétés capitalistes ? Dans le système comptable actuel, le capital financier est le seul à être systématiquement conservé, tandis que le travail humain et la nature sont utilisés comme des ressources inépuisables et ne sont donc pas strictement conservés. »

~ Alexandre Rambaud

« L’idée de concevoir et d’inscrire une raison d’être dans les statuts d’une entreprise ne tombe pas du ciel. Elle intervient dans un moment bien particulier de la vie des entreprises où les performances économiques et le progrès technologique ne parviennent plus à masquer la disparition du progrès social et environnemental. »
~ Bertrand Valiorgue

« L’idée de concevoir et d’inscrire une raison d’être dans les statuts d’une entreprise ne tombe pas du ciel. Elle intervient dans un moment bien particulier de la vie des entreprises où les performances économiques et le progrès technologique ne parviennent plus à masquer la disparition du progrès social et environnemental. »

~ Bertrand Valiorgue

Slider

Le projet

La loi Pacte offre l’opportunité de porter un nouveau regard sur les sociétés et leurs contributions dans la Société, elle ouvre aussi la voie à une réflexion sur une nouvelle génération de dispositifs de régulation contribuant à soutenir le virage contributif des entreprises dans la Société.

Dans le prolongement de travaux académiques de référence sur les fondements de l’entreprise qui ont inspiré la loi Pacte s’est constitué un collectif initié par quatre acteurs aux expertises et ambitions complémentaires : Pascale Levet (Le Nouvel Institut), Isabelle Lescanne (Odet – Groupe Nutriset), Kevin Levillain (Chaire des Mines Théorie de l’Entreprise et modèles innovants), Aurélie Ghemouri Krief (Plein Sens).

Ce collectif interroge la pertinence des modèles de vérification et d’évaluation en vigueur et les conditions pour que la loi Pacte entraîne une vraie transformation de la gouvernance des entreprises.

Le projet « gouvernance, innovation et intention contributive » part du postulat que la recherche de conformité comme seul horizon de la régulation et du reporting dans le champ de la responsabilité de l’entreprise représente une partie du problème vicieux qui pèse sur la transition vers la « nouvelle entreprise » dont certains travers sont :

  • Les obligations juridiques liées à la responsabilité sociétale des entreprises (lois NRE, Grenelle II, devoir de vigilance) et leur vérification relèvent de la conformité et de la contrainte légale plutôt que d’une transformation profonde du modèle de l’entreprise ;
  • Les référentiels français et internationaux en la matière sont trop nombreux et il n’existe pas de cadre commun, ce qui favorise l’éparpillement des pratiques ;
  • Les critères ESG des fonds d’investissements responsables et les notations des agences de notations extra-financières placent la performance extra-financière comme un objet à part entière, à l’écart de la performance économique.

Notre méthodologie

Se référant aux méthodologies d’innovation ouverte, ce collectif « gouvernance, innovation et intention contributive » va s’attacher à concevoir et expérimenter en environnement réel, une doctrine et un outillage alternatifs avec pour ambition de faire évoluer les standards du marché de la régulation et, ainsi, de contribuer à équiper conceptuellement et opérationnellement la transition vers l’entreprise contributive.

Trois axes de travail vont être déployés parallèlement, sur une durée de 18 mois :

Expliciter les fondements

Expliciter les fondements conceptuels, à travers la formalisation d’un référentiel pour la vérification de la mission des entreprises à mission.

Concevoir une méthode

Concevoir une méthode fidèle à ce référentiel pour rendre opératoire ses principes dans le cadre de missions de vérification.

Outiller des usages

Outiller des usages  de cette méthode de vérification, se détournant de la compliance pour viser une valeur d’apprentissage et d’innovation résolue.

Contactez-nous



    * Champs requis